C’est mon anniversaire aujourd’hui ; je suis comme Miss Fine, la nounou d’enfer, j’ai 29 ans éternellement, à compter de ce jour ! Alors pour fêter ça sur mon blog, ce sera un post sur Madonna (j’ai hésité avec Mylène Farmer …)

Madonna a posé pour la collection Vuitton cet été 2009. La campagne avait été qualifiée de vulgaire à cause des collants résille et des tenues provoquantes, peu en adéquation avec la marque. En même temps, quand on choisit Madonna, si ce n’est pas un chouya provoquant, ça ne sert à rien ! C’est une image qui lui colle à la peau et qui lui va bien,on l’aime pour ça ! A 50 balais, être sexy comme ça, je dis bravo ! Mais ça n’engage que moi. Et puis j’adore les collants résille, ça fait de jolies jambes. Enfin, si d’ordinaire je ne suis pas fan des sacs Vuitton, je trouve celui de la photo absolument sublime !

La nouvelle campagne 2010 est plus glamour, sans collant résille, avec des tenues classe laissant discrètement apparaître de longues bottes façon cuissardes.

Les photos sont artistiquement retouchées donnant l’impression que Madonna est une poupée de cire. C’est Steven Meisel sous la direction artistique de Marc Jacobs qui s’est chargé de shooter la star, et c’est également très réussi. Les robes à froufrous façon princesse moderne j’aime aussi et je crois que je commence à devenir fan des modèles Vuitton ! C’est ma carte bleue qui va être contente !

En avant première, je vous montre un des nouveaux jeux de société de la marque LEGO: le Minotaurus.

LEGO a eu la bonne idée de sortir toute une série de jeux alliant jeux de société et construction, puisque c’est quand même Lego ! Je trouve l’initiative excellente ! Les jeux sont destinés aux 6-8 ans et affichent différents thèmes proches des enfants comme les pirates, les chevaliers et dragons, les robots, les sorciers, les monstres, les courses de rallye, l’espace, les pyramides et la mythologie.

Avec Marco, nous avons testé le Minotaurus. Ce fut l’occasion de lui raconter la triste histoire de Thésée et le Minotaure, afin qu’il comprenne mieux qui est cette affreuse bête noire qui garde le temple sur la boîte du jeu. La première étape consiste à construire entièrement le jeu de société, depuis la plateforme jusqu’au dé. Et là, le plan est tellement bien expliqué avec des schémas clairs, étape par étape, que Marco a tout fait seul, pour sa plus grande fierté ! Premier bon point pour le jeu, là où d’autres notices sauteraient des étapes, ce qui découragerait les petits.

2ème étape, le jeu. Les régles sont simples et clairement énoncées. Chacun part avec 3 héros sur le labyrinthe. Si on joue à 2, comme ce fut notre cas, il s’agit d’être le premier à installer 2 de nos 3 héros sur le temple. Bien sûr, il faut avancer sur le labyrinthe grâce au dé, tout en évitant le Minotaure et les pièges de son adversaire.

En effet, si on tombe sur une case grise du dé, on peut déplacer les murs gris du labyrinthe pour bloquer le passage de son adversaire et l’obliger à emprunter le chemin le plus long.

Si vous tombez sur la case noire du dé, vous déplacez le Minotaure de 8 cases afin qu’il rencontre votre adversaire et le fasse retourner à la case départ. Ou au contraire, vous l’éloignez de vous de 8 cases!

Marco vous donne ses astuces de jeu. D’abord, vous pouvez bloquer avec vos murs  gris les accès au temple de votre adversaire : s’il est rouge, vous bloquez les cases rouges du Temple où il pourrait mettre ses héros. Marco m’a fait le coup et comme je ne suis pas tombée sur la case grise du dé me permettant de déplacer les murs, il a gagné la partie ! Pire, comme on ne peut pas sauter par-dessus les murs, vous pouvez bloquer votre adversaire de 2 murs dès la case départ, mais il faut tomber sur 2 cases grises avec le dé !

Ensuite, si vous êtes bloqué par un mur, ne cherchez pas forcément à le contourner en empruntant un chemin plus long ; jouez avec votre 2eme ou 3eme pion en attendant de tomber sur une case grise pour débloquer votre 1er pion coincé. Cela vous évite une grosse perte de temps !

Enfin, l’originalité de ces jeux est qu’il existe une infinité de variantes pour les fois où vous vous lasserez ! Vous fixez vos règles, vous changez le dé pour y coller et le jeu a une deuxième vie. Bref, je dirais que c’est un jeu Duracell : entre la construction, les parties classiques qui durent le temps de trouver des astuces et les variantes possibles, ce jeu dure vraiment plus longtemps !

Nous, on est fan, on y joue tous les jours pendant la sieste de la Puce ! Et pourtant, le Marco, il est difficile en jeu de société !

Et vous, vous comptez l’essayer ? Il sort en janvier 2010 en magasin mais vous pouvez le retrouver déjà sur le site .

Mon blog créatif Lily Chat et les Pirates est en compétition chez Marie Claire maisons, pour le blog déco du mois, candidate n° 435.

Si vous souhaitez laisser un commentaire, c’est avec plaisir ! Pour les votes, c’est un jury qui s’en occupe. Bonne chance à mes autres copinets créatrices que je soutiens !

Edit : merci pour les gentils messages !

Ayant très envie de changer ma vaisselle, j’ai fait des recherches un peu partout. J’ai trouvé de ravissants modèles mais à chaque fois, ceux-ci étaient très chers. Du coup, j’ai décidé de retourner chez ce bon vieux Ikea où j’ai racheté un service d’assiettes en grès beige et des lots de verres neutres, avec pour intention de les customiser. 6 verres à 0,99 euros, franchement, j’aurais eu tort de me priver !

C’est là que j’ai besoin de votre avis : je voulais des assiettes à volutes assez simples, avec quelques touches de rouge données par les pois. Mais pour les verres, dessiner juste des volutes, je trouvais ça triste et j’ai voulu les égayer un peu avec d’autres dessins. Lequel de ces  » modèles de verres iraient le mieux avec les assiettes ? Ou simplement, lequel de ces 3 modèles est le plus joli pour décorer un verre ?

A l’heure où les copines exhibent leurs maillots de bain pour cet été, je vous montre celui qui me fait craquer :

Le petit noeud est le détail qui m’a séduite, vous vous en doutez. J’ai très envie de vous faire connaître cette marque car les maillots sont vraiment tendance, avec des matières très actuelles et des coupes soignées. J’ai trouvé la présentation de la collection 2009 sur le site particulièrement esthétique et pour cause, c’est une nageuse gracieuse de natation synchronisée qui fait office de mannequin. Et plus, c’est aussi la créatrice de la marque : Jessica Othnin-Girard. J’ai eu la chance de pouvoir lui poser tout plein de questions mais avant de lire, allez faire un tour sur le site pour découvrir la collection 2009 pour femme ou pour filles, aux noms exotiques : http://www.jogswimwear.com/

Sur le site, on lit que vous avez été championne de natation synchronisée. Quel âge aviez-vous, où cela se passait-il, quels sont vos plus beaux souvenirs ? J’ai commencé la natation synchronisée à l’âge de 6 ans et demi et j’ai pratiqué ce sport durant 16 ans. Tout d’abord dans un petit club du 92 (Hauts-de-Seine), à Ville d’Avray où j’ai gravi les marches une à une. Ensuite j’ai intégré le club du Stade Français, à Paris, qui est le 3e meilleur club national. C’est dans ce club que j’ai fait mes meilleures performances: championne de France, national 2, en solo puis médaille de bronze par équipe en national 1, j’ai également participé à un stage d’entrée en équipe de France avant de décider de partir vivre à l’étranger, en Asie … mon plus beau souvenir est bien entendu le jour ou je suis montée sur la plus haute marche du podium français, un sentiment profond de satisfaction, de bonheur, de plénitude… l’aboutissement et la récompense de tant d’années d’efforts !

J’ai lu que vous avez créé vos propres maillots de compétition. Quels ont été vos premiers modèles et vos sources d’inspiration ?

Oui dès toute petite, j’ai eu ce besoin de dessiner mes propres maillots de bain de natation synchronisée. Petites, l’été avec ma soeur, nous nous amusions à dessiner des collections entières de maillots de bain et nous élisions le meilleur.
En natation synchronisée, nous créons souvent nos chorégraphies en rapport avec des thématiques bien précises (ex: lac des cygnes, le cirque, la mer, etc….), je prenais donc inspiration de ces thématiques pour créer des maillots collant à l’image de ces thèmes. Sur mes maillots de bain de compétition, je faisais toujours attention d’utiliser des découpes peu, voire jamais, utilisées avec une découpe particulièrement innovante dans le dos. J’ai toujours trouvé que le dos devait être autant, voir plus, travaillé que le devant d’un maillot de bain, là est toute la subtilité. Et il n’y a rien de plus beau qu’un dos mis en valeur par une belle découpe.

La plupart du temps, j’utilisais des matières lycra pailletées, car dans ce sport, les maillots doivent être très scintillants pour être vu de loin et de haut. Les couleurs pouvaient varier en fonction du thème: rouge et noir pour le thème de la peur, vert et imprimés léopard sur le thème de la jungle, etc…

Vous avez dessiné votre premier maillot à 6 ans. Vous aviez déjà l’âme d’une créatrice ? Cela a-t-il influencé vos études ?

J’ai toujours eu ce besoin de créer. J’ai suivi un parcours plutot “banal”, orienté business: après un bac S, je me suis orientée vers des études de management, puis j”ai opté pour un diplôme de management du sport à l’université Paris – Dauphine, à l’époque je voulais travailler pour le mouvement Olympique au CIO! Ensuite j’ai effectué un master de Business International au  Sup de Co Paris: ESCP-EAP (avec un semestre effectué en Asie). J’avais cette profonde attirance pour l’Asie et je savais que c’était là bas que je pourrais créer et développer mes profondes envies. Je dirais que mes études ont été un cheminement qui m’ont dirigé droit dans ce que je fais aujourd’hui: mes compétences en business m’ont aidé à monter et à gérer la structure au quotidien, ma créativité s’est révélée dans mon passé de nageuse synchro autant dans la conception de maillots de bain que de chorégraphies diverses et variées. J’ai ensuite passé une année au sein d’une multi-nationale française de grande distribution à Shanghai, en Chine. J’y ai acquis mes connaissances textile, la relation fournisseur, le management et la relation de travail avec les chinois. Tout ce parcours m’a amené aujourd’hui à créer la marque JOG Swimwear.

Vous avez travaillé pour une grande marque française avant de créer la vôtre. de quelle marque s’agit-il ?

On ne peut pas dire que ce soit une grande marque (sourire) mais plutot un gros groupe ! un géant même: il s’agissait de Carrefour.

Comment avez-vous décidé de vous lancer dans l’aventure seule ?

En créant une collection de maillot de bain pour Carrefour, cela a fait remonter en moi tout ce qui était le plus naturel pour moi. Et je me suis dit que j’étais faite pour ça: je voulais créer des maillots, développer et voir grossir ma marque en partant de rien, en Asie et en France, manager une équipe… c’est tout ce que m’offre JOG aujourd’hui.

Quelles ont été vos sources d’inspiration pour la collection 2009 ?

Mes sources d’inspiration pour la collection sont bien évidemment la natation synchronisée en général, mais aussi Singapour et Bali, les lieux de conception de la collection en 2008, des lieux à la fois exotiques, délicats et qui font rêver…

Comment avez-vous choisi les noms donnés aux maillots ?

Justement en fonction de leur lieu de conception, des quartiers de Singapour (Chjimes, Bugis, Little India, Botanic Garden, Raffles) et endroits paradisiaques d’Indonesie (Kuta, Bali, Bintan, Ubud, Lovina)

J’ai craqué sur le maillot blanc Bugis, à cause du petit noeud. Ce maillot a-t-il une histoire ?

L’inspiration de ce noeud est particulière. J’avais acheté une robe “1000 formes” à Singapour, qui pouvait se mettre en robe bustier avec un noeud sous la poitrine, j’adorais vraiment cette forme. J’ai repris l’idée pour deux styles de maillots de bain, le bikini Bugis et le deux pièces Kuta. Les clientes adorent !

Les fifilles ont aussi leur collection avec des anneaux et des coupes fashion. Jessica a décidément tout pour elle : beauté, talent artistique, talent créatif et beaucoup de goût.

Sensuel comme slogan, non ? Après le shampooing solide de Lush dont je parlerai très prochainement, j’ai testé les parfums solides de Crazylibellule and the Poppies. C’est mignon comme nom !

Il fallait oser cette nouvelle forme de parfum mais pourquoi pas : le parfum en stick, ça ne coule pas, la bouteille ne se casse pas et ça se glisse un peu partout dans les poches ou dans les sacs. Il suffit de le passer comme une caresse sur les endroits chauds de votre corps pour diffuser le parfum, et le tour est joué. A 12 euros le stick, pas question de se priver de cette petite note parfumée !

Le must c’est que ces petites folies douces sont sans parabène, sans colorant et sans alcool ! Moi je suis fan, j’ai adopté le parfum « Rose à Saïgon » de la collection « les garçonnes » qui a une odeur délicieusement sucrée. Chaque produit est présenté sur le site avec son étoile olfactive qui recense les essences qui composent le parfum, lui donnant ainsi une signature unique. Le mien est aux fruits de la passion, mangue, jasmin,rose  et ylang. Enfin, chaque fragrance a une histoire poétique qui nous est contée.

Partantes pour un petit jeu, les filles ? Je vous propose d’en gagner un en laissant juste un petit commentaire aux notes acidulées et je tirerai au sort.

Edit du 17 juillet : c’est Mlle Cerise , Grenadine acidulée et Kaamyie qui ont remporté le petit parfum en stick par tirage au sort de la petite main innocente de ma Lili. Merci à toutes d’avoir participé (ou juste commenté).

Une petite recette du pays avec les fleurs de courgettes.

J’inaugure ma nouvelle catégorie « So gourmande » parce qu’avant,  je ne savais jamais où caser mes recettes et envies gastronomiques.

Chaque été, nous nous régalons de petites courgettes vert clair du pays, qui, soit dit en passant, sont délicieuses mangées crues coupées en très fines rondelles, avec de l’huile d’olive et un peu de sel. Je ne jette jamais les fleurs car ce petit goût légèrement amer et cette texture fondante me plaît énormément. J’avais essayé les beignets mais c’était un peu  écoeurant. En omelette, c’est délicieux et original. Je vous livre ma recette pour réussir votre omelette :

Otez le pistil des fleurs et effeuillez-les. Dans un saladier, battez les oeufs à la fourchette avec un peu de crème fleurette pour bien lier le tout et ajoutez-y les fleurs. Dans une poêle, faites chauffer de l’huile et lorsqu’elle est bien chaude et que « le feu » est au maximum, versez-y les oeufs. Baissez immédiatement le feu pour laisser lentement l’omelette se solidifier sans qu’elle ne brûle (survelleillez, la cuisoon est rapide). Lorsqu’elle est bien ferme, retournez-la rapidement pour dorer et chauffer l’autre côté et retirez du feu. (Chez Ikea, il existe un outil génial pour retourner les omelettes sans les briser : la spatule géante)

Vous pouvez rajouter dans votre omelette quelques rondelles de courgettes du pays préalablement dorées à la poêle avec de l’huile d’olive et parsemées de thym. Gardez l’huile de cuisson, à ce moment-là, et incorporez-la aux oeufs battus pour que l’omelette prenne une légère teinte verte, ce qui lui donnera son originalité.

Il existe d’autres recettes où il faut ajouter des dés de tomates fraîches ou des oignons, libre à vous d’improviser mais juste comme cela, c’est si bon ! Bon app’ !

Un peu partout, on voit des t-shirts et débardeurs de couleur vive et à rayures qui me rappellent celles de Sonia Rykiel. J’ai cru à une imitation mais à en juger les filles qui les portaient, j’ai compris qu’il s’agissait bien d’une marque très en vogue.  Moi c’est sur les dos-nus que j’ai craqué : ils sont si gais avec leur coloris acidulés et leur jolie coupe.

Mais d’où vient donc cette marque ? Little Marcel est née dans le sud de la France, au Grau du Roi. C’est en 2005 que naissent les débardeurs multicolores façon « marcel ». Les premiers modèles ressemblaient à de simples marinières et connurent un vif succès, si bien que la marque lança une gamme plus colorée. L’originalité réside aussi dans l’écriture cursive utilisée qui me rappelle l’école primaire …

Voici ma petite sélection, trouvée à la fois sur Ebay et le site officiel.

Little Marcel

Je trouve les produits Little Marcel chez Georgia, près de la Pinède et du Casino de Juan-les-Pins où l’accueil est si agréable et la partie de shopping près de la mer si charmante.

Une grande nouvelle : j’ai fabriqué mon premier produit cosmétique ! J’avais certes testé le masque au chocolat mais il n’y avait rien de transcendant. Là, j’ai vraiment joué les sorcières en suivant la recette de Mlle Caro pour réaliser mon shampooing. Depuis qu’elle me l’a envoyé, je n’ai jamais retrouvé cette sensation avec un autre shampooing de supermarché ou de parapharmacie, bio ou non : la texture, l’odeur, la souplesse et la douceur des cheveux sont incomparables !

Le shampooing de Mlle Caro

Je vous redonne la recette : 150g de base lavante bio, 4.5 g de silicone végétal, 6g de phytokératine, 15 gouttes d’huile essentielle de citron bio, mica cuivre pour donner une jolie couleur rose, 30 gouttes d’epp comme conservateur. Le tout disponible sur le net chez Aroma-Zone.

Je crois que ça va me plaire de fabriquer mes cosmétiques parce qu’on peut adapter les formules et ingrédients à son type de peau ou de cheveux et à ses besoins. On peut aussi choisir les parfums et j’ai envie de m’enivrer de framboise, de cannelle ou de noix de coco et de m’enduire le visage et le corps avec ces crèmes gourmandes dont les cosméto-girls parlent sans cesse. Merci à Caly et à Miss Lollipop pour leurs conseils. Quand on a goûté aux cosmétiques faits main, on devient vite accro : j’ai failli tout dévaliser chez Aromazone !

Je garde quand même avec plaisir quelques produits achetés parce qu’il en existe de vraiment très agréables, tout de même. Mais moi, dès qu’il s’agit de faire fonctionner mes 10 doigts … Pas vous ?

Alors, vous vous y mettez quand aux cosmétiques naturels faits maison ?

Vous regardez ou lisez des mangas ? Le sujet a fait beaucoup parler les filles par ici, quelque soit leur âge. Les kokeshis sont très tendance dans la déco et je ne pouvais pas y échapper. Voici la tasse réalisée pour ma soeur Méluzine, fan des mangas et surtout de Nicki Larson !

Merci à Créenfantin pour les idées de dessin. Si vous aimez, cliquez ici pour continuer la promenade.

Encore plus de tasses dans ma galerie Lily Chat.